Sophrologie : quels bénéfices pour la santé ? - julieherve.com

Sophrologie : quels bénéfices pour la santé ?

Du grec sos (harmonie), phren (conscience) et logos (étude), cela signifie textuellement, « étude de la conscience harmonieuse ».

Créée dans les années 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, cette discipline vise à restaurer l’harmonie entre le corps et l’esprit. En libérant les tensions, elle induit une détente profonde et une recharge d’énergie, d’où une diminution rapide de la fatigue. Elle déprogramme également les réactions inappropriées au stress, ce qui supprime ses effets toxiques : maux de ventre, palpitations, chute des défenses immunitaires…

Caroline GAYRAL, sophrologue, hypnothérapeute et coach de vie nous dit : « C’est à la fois une conscience corporelle qui permet de revenir à soi, et une
relaxation qui va permettre de relâcher toutes les tensions musculaires
du corps.
Le but est d’être bien dans son corps pour être mieux dans sa tête. Une fois la relaxation corporelle et physique atteinte grâce à un protocole bien particulier, le sophrologue peut amener le consultant à visualiser des éléments particuliers de sa vie, ou de petites scènes afin de mieux vivre un événement réel. Le consultant reste conscient de tout ce qu’il se passe et est acteur de la séance avec la thérapeute ».

www.carolinegayralpsychopraticienne.fr

Plusieurs études ont montré que les adeptes de la sophrologie consultent moins souvent leur médecin et consomment moins d’antalgiques et de tranquillisants que les autres (jusqu’à -30%).
Guidé par la voix douce du sophrologue, on renforce aussi son optimisme et sa confiance en soi. « Cela permet de lever des peurs et de troquer ses angoisses contre des pensées positives », explique Beatriz Petkoff, sophrologue. L’Institut Curie, qui propose des séances de sophrologie comme soin de support aux femmes atteintes de cancer, en a mesuré les bénéfices : moins d’anxiété, moins de nausées après la chimiothérapie et moins d’insomnies, donc une meilleure récupération.

Pour être utile au quotidien, il faut faire au moins 5 séances car c’est une médecine douce qui change les choses en profondeur pour être pérenne dans le temps. Une moyenne de 10 séances est observée pour être efficace. Si la sophrologie n’a pas pour objectif de « guérir » une pathologie comme le diabète, un cancer ou ulcère, elle va soutenir la personne dans la façon dont elle va vivre avec ces maladies. Elle peut aider a en comprendre l’origine et permettre au traitement allopathique d’être plus efficace.

Il n’est pas nécessaire d’avoir une maladie pour consulter un sophrologue. Vouloir vivre en harmonie avec soi-même suffit ! La sophrologie relève principalement du développement personnel. Les exercices sont ludiques et elle fournit des outils intéressants pour améliorer le bien-être et la qualité de vie. On peut la pratiquer toute l’année, sans modération, comme une gymnastique qui booste nos ressources et nos pensées positives. En cela c’est un formidable allié pour rester en bonne santé mentale et physique.

Le meilleur allié contre les addictions

L’addiction est une pathologie qui repose sur la consommation répétée d’un produit (tabac, alcool, drogues…) ou la pratique anormalement excessive d’un comportement (jeux, temps sur les réseaux sociaux…) qui conduit à :

  • une perte de contrôle du niveau de consommation/pratique
  • une modification de l’équilibre émotionnel
  • des troubles d’ordre médical
  • des perturbations de la vie personnelle, professionnelle et sociale

Selon l’IRSEM, la science pour la santé, les addictions les plus fréquentes sont celles relatives aux substances psychoactives réglementées (tabac, alcool…), détournées de leur usage (médicaments, poppers, colles, solvants…) ou illicites (cannabis, cocaïne, ecstasy…). Régulièrement, d’autres substances à potentiel addictif émergent, comme le protoxyde d’azote contenu dans les cartouches de siphons à chantilly ou de nouveaux produits de synthèse (MDMA, cathinones…). Toutes provoquent un effet immédiat sur les perceptions, l’humeur et le comportement, à un degré variable, et exposent à un risque de dépendance plus ou moins rapide et plus ou moins sévère.

 

Prises globalement, ces addictions concernent plusieurs millions de personnes en France. Ainsi, selon l’Office français des dépendances et toxicomanies (OFDT), 8% de la population adulte présenterait un risque chronique d’addiction à l’alcool (données 2014) et un quart (27%) une addiction au tabac (données 2019). L’usage problématique ou la dépendance au cannabis concernerait 7% des adolescents de 17 ans et 3% des 18-64 ans. Par ailleurs, l’usage régulier de cocaïne, freebase ou crack concernerait 1,6% des adultes français.  Les usagers problématiques de drogues, toutes substances illicites confondues, seraient 350 000 en France, parmi lesquels environ un tiers rapporte avoir pratiqué une injection intraveineuse au cours de l’année écoulée (données 2019).

Concernant les addictions liées à des pratiques, comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe, les réseaux sociaux ou encore les achats compulsifs, les statistiques sont moins nombreuses nécessitent d’être mieux connues. On sait cependant qu’environ une personne sur dix qui participent à des jeux de hasard ou d’argent en ligne a une pratique à risque modéré ou est un joueur excessif (enquête E-Games,  France 2017). Pour les autres pratiques à risque, les chiffres sont plus disparates.

Il y a aussi de plus en plus d’addict au sucre. Celle-ci non répertoriée bien souvent mais bien réelle est une drogue extrêmement puissante. Elle est différente des troubles alimentaires compulsifs comme la boulimie ou l’anorexie. Dans une société de plus en plus anxiogène, le sucre, d’abord « douceur récompense » après une journée éprouvante va finir par devenir une vrai drogue avec des conséquences très gravee sur la santé physique mais aussi mentale quand on sait que l’excès de sucre peut rendre violent.

La sophrologie va permettre à la personne qui consulte petit à petit à prendre de la distance avec la substance responsable de l’addiction. En favorisant la détente, en travaillant sur les racines de l’anxiété qui a amené aux premières consommations d’addictifs, nous pouvons reprendre le contrôle d’un comportement que nous ne maîtrisions plus.

Prévention ou réparation, on a tout à y gagner !

Vous l’aurez compris, la sophrologie est un atout santé précieux. Qu’on l’utilise en prévention pour gérer nos émotions et notre stress au quotidien, ou qu’elle nous aide à nous débarrasser de comportements auto-destructeurs, nous avons tout à gagner d’en faire un allié santé.

Pour bien choisir votre sophrologue, n’hésitez pas à demander au praticien quelles sont ses méthodes de travail, pour vérifier qu’il respecte les quelques règles de base de la sophrologie. Un sophrologue n’est ni un analyste, ni un professeur. Il doit utiliser uniquement des techniques verbales (il ne vous touchera jamais) et laisser son client s’exprimer, sans interprétation de ses propos et sans donner de leçons. Dans un cabinet de sophrologie, vous pouvez être debout, assis ou allongé. Si des variantes peuvent exister, une séance « type » se déroule en quatre temps.

  1. Un dialogue se noue d’abord, sur les raisons qui ont poussé le « sophronisant » à venir et sur le déroulé de la séance.
  2. Le « sophronisant » effectue ensuite un certain nombre d’exercices de relaxation, guidé par la voix du praticien.
  3.  Puis il visualise des « pensées positives » (un endroit calme par exemple), toujours guidé par la voix du sophrologue.
  4.  Enfin, le « sophronisant » s’exprime sur ce qu’il a ressenti pendant les exercices.

Une séance dure environ une heure, une heure trente selon les habitudes du praticien. Le meilleur signe que vous êtes accompagné par la bonne personne c’est votre ressenti, cela doit vous faire du bien ! C’est évident et pourtant il est bon de le rappeler. Il faut que vous vous sentiez à l’aise et en confiance. Si quelque chose vous gêne, soit vous n’avez pas le bon praticien, soit vous n’êtes pas prêt. Dans ce cas, tentez une autre séance avec un autre sophrologue. Si cela continue, alors laissez passer du temps, travaillez sur vous d’une autre façon et refaites un test plus tard. Il est important de s’écouter. 

Si la sophrologie vous a aidé , partagez-nous vos expérience dans les commentaires ! Vous aiderez ainsi d’autres personnes à savoir si cela peut-être bon ou non pour elles.

Aimez-vous et prenez soin de vous.

Julie HERVE

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Les 5 clés d'une alimentation santé

Facilement et rapidement, sans régime, sans changer le contenu de ton assiette, sans frustration, tu gagneras en énergie, te sentira plus léger et en meilleure forme.

Du grec sos (harmonie), phren (conscience) et logos (étude), cela signifie textuellement, « étude de la conscience harmonieuse ».

Créée dans les années 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, cette discipline vise à restaurer l’harmonie entre le corps et l’esprit. En libérant les tensions, elle induit une détente profonde et une recharge d’énergie, d’où une diminution rapide de la fatigue. Elle déprogramme également les réactions inappropriées au stress, ce qui supprime ses effets toxiques : maux de ventre, palpitations, chute des défenses immunitaires…

Caroline GAYRAL, sophrologue, hypnothérapeute et coach de vie nous dit : « C’est à la fois une conscience corporelle qui permet de revenir à soi, et une
relaxation qui va permettre de relâcher toutes les tensions musculaires
du corps.
Le but est d’être bien dans son corps pour être mieux dans sa tête. Une fois la relaxation corporelle et physique atteinte grâce à un protocole bien particulier, le sophrologue peut amener le consultant à visualiser des éléments particuliers de sa vie, ou de petites scènes afin de mieux vivre un événement réel. Le consultant reste conscient de tout ce qu’il se passe et est acteur de la séance avec la thérapeute ».

www.carolinegayralpsychopraticienne.fr

Plusieurs études ont montré que les adeptes de la sophrologie consultent moins souvent leur médecin et consomment moins d’antalgiques et de tranquillisants que les autres (jusqu’à -30%).
Guidé par la voix douce du sophrologue, on renforce aussi son optimisme et sa confiance en soi. « Cela permet de lever des peurs et de troquer ses angoisses contre des pensées positives », explique Beatriz Petkoff, sophrologue. L’Institut Curie, qui propose des séances de sophrologie comme soin de support aux femmes atteintes de cancer, en a mesuré les bénéfices : moins d’anxiété, moins de nausées après la chimiothérapie et moins d’insomnies, donc une meilleure récupération.

Pour être utile au quotidien, il faut faire au moins 5 séances car c’est une médecine douce qui change les choses en profondeur pour être pérenne dans le temps. Une moyenne de 10 séances est observée pour être efficace. Si la sophrologie n’a pas pour objectif de « guérir » une pathologie comme le diabète, un cancer ou ulcère, elle va soutenir la personne dans la façon dont elle va vivre avec ces maladies. Elle peut aider a en comprendre l’origine et permettre au traitement allopathique d’être plus efficace.

Il n’est pas nécessaire d’avoir une maladie pour consulter un sophrologue. Vouloir vivre en harmonie avec soi-même suffit ! La sophrologie relève principalement du développement personnel. Les exercices sont ludiques et elle fournit des outils intéressants pour améliorer le bien-être et la qualité de vie. On peut la pratiquer toute l’année, sans modération, comme une gymnastique qui booste nos ressources et nos pensées positives. En cela c’est un formidable allié pour rester en bonne santé mentale et physique.

Le meilleur allié contre les addictions

L’addiction est une pathologie qui repose sur la consommation répétée d’un produit (tabac, alcool, drogues…) ou la pratique anormalement excessive d’un comportement (jeux, temps sur les réseaux sociaux…) qui conduit à :

  • une perte de contrôle du niveau de consommation/pratique
  • une modification de l’équilibre émotionnel
  • des troubles d’ordre médical
  • des perturbations de la vie personnelle, professionnelle et sociale

Selon l’IRSEM, la science pour la santé, les addictions les plus fréquentes sont celles relatives aux substances psychoactives réglementées (tabac, alcool…), détournées de leur usage (médicaments, poppers, colles, solvants…) ou illicites (cannabis, cocaïne, ecstasy…). Régulièrement, d’autres substances à potentiel addictif émergent, comme le protoxyde d’azote contenu dans les cartouches de siphons à chantilly ou de nouveaux produits de synthèse (MDMA, cathinones…). Toutes provoquent un effet immédiat sur les perceptions, l’humeur et le comportement, à un degré variable, et exposent à un risque de dépendance plus ou moins rapide et plus ou moins sévère.

 

Prises globalement, ces addictions concernent plusieurs millions de personnes en France. Ainsi, selon l’Office français des dépendances et toxicomanies (OFDT), 8% de la population adulte présenterait un risque chronique d’addiction à l’alcool (données 2014) et un quart (27%) une addiction au tabac (données 2019). L’usage problématique ou la dépendance au cannabis concernerait 7% des adolescents de 17 ans et 3% des 18-64 ans. Par ailleurs, l’usage régulier de cocaïne, freebase ou crack concernerait 1,6% des adultes français.  Les usagers problématiques de drogues, toutes substances illicites confondues, seraient 350 000 en France, parmi lesquels environ un tiers rapporte avoir pratiqué une injection intraveineuse au cours de l’année écoulée (données 2019).

Concernant les addictions liées à des pratiques, comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe, les réseaux sociaux ou encore les achats compulsifs, les statistiques sont moins nombreuses nécessitent d’être mieux connues. On sait cependant qu’environ une personne sur dix qui participent à des jeux de hasard ou d’argent en ligne a une pratique à risque modéré ou est un joueur excessif (enquête E-Games,  France 2017). Pour les autres pratiques à risque, les chiffres sont plus disparates.

Il y a aussi de plus en plus d’addict au sucre. Celle-ci non répertoriée bien souvent mais bien réelle est une drogue extrêmement puissante. Elle est différente des troubles alimentaires compulsifs comme la boulimie ou l’anorexie. Dans une société de plus en plus anxiogène, le sucre, d’abord « douceur récompense » après une journée éprouvante va finir par devenir une vrai drogue avec des conséquences très gravee sur la santé physique mais aussi mentale quand on sait que l’excès de sucre peut rendre violent.

La sophrologie va permettre à la personne qui consulte petit à petit à prendre de la distance avec la substance responsable de l’addiction. En favorisant la détente, en travaillant sur les racines de l’anxiété qui a amené aux premières consommations d’addictifs, nous pouvons reprendre le contrôle d’un comportement que nous ne maîtrisions plus.

Prévention ou réparation, on a tout à y gagner !

Vous l’aurez compris, la sophrologie est un atout santé précieux. Qu’on l’utilise en prévention pour gérer nos émotions et notre stress au quotidien, ou qu’elle nous aide à nous débarrasser de comportements auto-destructeurs, nous avons tout à gagner d’en faire un allié santé.

Pour bien choisir votre sophrologue, n’hésitez pas à demander au praticien quelles sont ses méthodes de travail, pour vérifier qu’il respecte les quelques règles de base de la sophrologie. Un sophrologue n’est ni un analyste, ni un professeur. Il doit utiliser uniquement des techniques verbales (il ne vous touchera jamais) et laisser son client s’exprimer, sans interprétation de ses propos et sans donner de leçons. Dans un cabinet de sophrologie, vous pouvez être debout, assis ou allongé. Si des variantes peuvent exister, une séance « type » se déroule en quatre temps.

  1. Un dialogue se noue d’abord, sur les raisons qui ont poussé le « sophronisant » à venir et sur le déroulé de la séance.
  2. Le « sophronisant » effectue ensuite un certain nombre d’exercices de relaxation, guidé par la voix du praticien.
  3.  Puis il visualise des « pensées positives » (un endroit calme par exemple), toujours guidé par la voix du sophrologue.
  4.  Enfin, le « sophronisant » s’exprime sur ce qu’il a ressenti pendant les exercices.

Une séance dure environ une heure, une heure trente selon les habitudes du praticien. Le meilleur signe que vous êtes accompagné par la bonne personne c’est votre ressenti, cela doit vous faire du bien ! C’est évident et pourtant il est bon de le rappeler. Il faut que vous vous sentiez à l’aise et en confiance. Si quelque chose vous gêne, soit vous n’avez pas le bon praticien, soit vous n’êtes pas prêt. Dans ce cas, tentez une autre séance avec un autre sophrologue. Si cela continue, alors laissez passer du temps, travaillez sur vous d’une autre façon et refaites un test plus tard. Il est important de s’écouter. 

Si la sophrologie vous a aidé , partagez-nous vos expérience dans les commentaires ! Vous aiderez ainsi d’autres personnes à savoir si cela peut-être bon ou non pour elles.

Aimez-vous et prenez soin de vous.

Julie HERVE

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Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les 5 clés d'une alimentation santé

Facilement et rapidement, sans régime, sans changer le contenu de ton assiette, sans frustration, tu gagneras en énergie, te sentira plus léger et en meilleure forme.

Depuis la nuit des temps, chaque peuple, chaque culture a instauré des grandes fêtes pour marquer les temps forts du groupe social. Aujourd’hui, dans nos sociétés occidentales nous oscillons entre les héritages des fêtes religieuses et/ou païennes et celles que nous imposent la société de consommation. Chaque famille crée aussi ses propres fêtes et ses propres rituels. Mais faire la fête avec soi même, célébrer nos actions quotidiennes n’est absolument pas appris, transmis ou valoriser sous peine d’être taxer de personne « narcissique » ou « baba cool ». Et pourtant les bénéfices pour notre santé mentale et pour le bon fonctionnement de nos fonctions exécutives sont inestimables. 

Valoriser le chemin plutôt que le résultat

Dans une culture basé sur la richesse financière ou de réussite professionnelle le système scolaire nous sanctionne par la note. Celle-ci est délivrée sur un résultat et non sur un chemin. En ancrant si fortement dans la tête de nos jeunes que la normalité c’est de travailler et d’avoir des bonnes notes, non seulement les efforts de celui qui parvient péniblement à la moyenne n’est pas récompensé mais en plus celui qui a une très bonne note considère ça comme « normal » car c’est l’attendu. On perd sur tous les tableaux la possibilité d’encourager nos fonctions exécutives (mémoire de travail, contrôle inhibiteur et discipline de travail pour ne citer qu’elles) à s’entraîner et à se perfectionner. Que nous le voulions ou non, notre cerveau fonctionne à la récompense et les réseaux sociaux et les applis l’ont bien compris. Les étoiles, les likes ou les smileys sont des récompenses virtuelles qui ont un fort impact sur notre cerveau. La bonne nouvelle c’est que nous pouvons utiliser ce même système de récompense pour valoriser cette fois le chemin parcouru, les efforts réalisés, les palliers intermédiaires d’un gros projets pour entretenir une dynamique positive et exploiter au maximum la réalité de nos compétences et de nos capacités. Car chaque difficulté rencontrée, chaque obstacle sur notre route sont une occasion de stimuler de nouvelles connexions neuronales pour trouver des solutions. Ainsi on augmente notre capacité d’adaptation. 

Comment ça fonctionne ?

Chaque fois que vous célébrez une victoire, votre cerveau libère des neurotransmetteurs qui vous motivent à poursuivre vos efforts. En célébrant chaque petite étape vers vos objectifs, vous alimentez votre propre feu intérieur et construisez la confiance nécessaire pour accomplir de grandes choses.  Maria Montessori l’avait d’ailleurs bien compris en mettant à disposition des enfants un environnement favorisant la répétition et l’autocorrection. L’enfant célèbre par lui-même et pour lui-même sa réussite en constatant sans jugement l’effort qu’il a fait pour en arriver là. Ainsi il a envie de recommencer pour se perfectionner répétant inlassablement jusqu’à obtenir le résultat qu’il s’est lui même fixer. Il faut savoir que la perfection est un lourd fardeau à porter qui alimente la culpabilité et l’insatisfaction permanente. En acceptant vos imperfections, vos erreurs, les cailloux sur le chemin vous accordez à votre cerveau la sérénité dont il a besoin pour apprendre. En permettant à votre cerveau de porter son attention sur les aspects positifs plutôt que sur les échecs vous lui offrez de se perfectionner dans le plaisir, la confiance, l’humour et la légèreté . Cet état d’optimisme nourri la confiance en soi et l’estime de soi qui permettent de faire de meilleurs choix et de mieux repérer et saisir les opportunités qui nous sont offertes. De plus identifier ses forces et ses compétences envoi le message suivant au cerveau : je suis digne et je mérite le meilleur. 

Poser chaque jour une gratitude est un bon moyen pour commencer à célébrer les petits pas. Elle transforme l’ordinaire en extraordinaire. Prendre le temps chaque jour de dire merci et de vous émerveiller devant ce que l’on tient trop souvent pour acquis c’est comme un bonbon pour le cerveau. Cette pratique régulière permet de renforcer les circuits neuronaux du bonheur et renforce l’amour de soi. Ce sentiment d’amour est une force positive puissante qui libère de l’ocytocine, connue comme l’hormone de l’attachement. Cette hormone favorise l’établissement de relations épanouissantes avec soi-même. En plus, en stimulant les circuits neuronaux de la récompense et en renforçant les liens sociaux elle améliorera la qualité de vos relations avec les autres. 


Poser chaque jour une gratitude est un bon moyen pour commencer à célébrer les petits pas. Elle transforme l’ordinaire en extraordinaire. Prendre le temps chaque jour de dire merci et de vous émerveiller devant ce que l’on tient trop souvent pour acquis c’est comme un bonbon pour le cerveau. Cette pratique régulière permet de renforcer les circuits neuronaux du bonheur et renforce l’amour de soi. Ce sentiment d’amour est une force positive puissante qui libère de l’ocytocine, connue comme l’hormone de l’attachement. Cette hormone favorise l’établissement de relations épanouissantes avec soi-même. En plus, en stimulant les circuits neuronaux de la récompense et en renforçant les liens sociaux elle améliorera la qualité de vos relations avec les autres. 

Alors on n’hésite plus et on passe à l’action : célébrer vos petits pas et remercier pour ce qui est sans attendre. Vous mériter le meilleur ! 

 

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